Visite au Salon Breizh Transition à Quimper ce matin. Une édition sous le signe de la transition énergétique, du numérique, de l’économie circulaire et de la mobilité.
Des conférences/ateliers/expos afin d’échanger sur les solutions pour les transitions des entreprises et des territoires.
“Un centre d’excellence au service de la #gastronomie et de ses filières”, c’était le thème de la rencontre organisée dans le cadre du Groupe d’étude gastronomie de l’Assemblée nationale.
Deux tables-rondes, des éclairages précieux & des échanges de qualité, en continuité de la présentation du rapport d’information dédié.
Chaque année, l’association« Le Grand Repas » propose aux habitants d’un même département ou d’une même région de partager ensemble le même jour, le même menu. Cet événement est l’occasion d’aborder des thématiques importantes comme la valorisation des terroirs, des producteurs locaux et des acteurs de la restauration dans leur diversité, la sensibilisation au bien manger et au gaspillage alimentaire et la transmission de notre patrimoine gastronomique.
Sensibles à la démarche de l’association de promouvoir l’utilisation de produits locaux de qualité, de prendre en compte les attentes environnementales et sociétales des consommateurs et de mettre en valeur les aliments dans nos assiettes, les députées de la 1ère, 4ème et 5ème circonscription du Finistère ont souhaité se mobiliser pour l’organisation de cet événement.
Cette année, et pour la première fois , l’opération aura lieu dans le Finistère le Jeudi 21 octobre 2021. Nicolas CONRAUX, chef du restaurant La Butte à Plouider (29), a accepté de parrainer cette édition et d’élaborer le menu suivant conçu à base de produits locaux et de saison :
Entrée : Chou-fleur brûlé et yaourt au curry vert
Plat : Volaille fermière poêlée et risotto de céleri au vinaigre de cidre
Plat – option végétarienne: Risotto de céleri acidulé, crème végétale et noisette torréfié
Dessert : Clafoutis végétal aux fruits d’automne (pommes, poires) Cette initiative s’adresse à tout type de restauration (collective publique, privée et traditionnelle) et aux particuliers. Les chefs de cuisine de chaque structure auront comme défi le jour de l’opération de réaliser ce menu, à l’aide de fiches techniques, dans leur propre cuisine ! L’opération a d’ores et déjà conquis de nombreux établissements scolaires et quelques restaurateurs dans le département .
Le 14 octobre dernier, nous avons donné le top départ du Grand Repas dans les cuisines de Sup’Ifac Campus des métiers à Brest, sous la houlette du Chef Nicolas Conraux, ambassadeur de notre 1ère édition dans le Finistère. Cette opération de lancement était l’occasion, avec mes collègues Graziella Melchior & Sandrine Le Feur, de rappeler les enjeux de l’événement : au-delà de la convivialité, nous avons abordé avec les élèves & les participants les sujets de la formation, l’emploi, l’agriculture, l’attractivité & le rayonnement de notre gastronomie française.
Déjà près de 15 000 couverts sont prévus le jour J dans le Finistère ! Un grand merci et bravo aux apprentis qui nous ont concocté, avec leur chef M. Michel, un savoureux déjeuner ! Les recettes inspirées de Nicolas Conraux sont téléchargeables en ligne : http://urlr.me/ZkRJf Merci à Ifac pour l’accueil.
“Se nourrir est à la fois un geste vital, un plaisir des sens et un acte engagé.” Je viens d’être nommée co-rapporteure de la mission “organisation et enjeux de la gastronomie française et ses filières”.
Je suis ravie & honorée de travailler aux côtés de ma collègue Barbara Bessot Ballot sur ce thème.
Cette mission vise 3 objectifs : Faire émerger une intelligence collective sur les défis que rencontre la gastronomie française au 21e siècle, Aborder la question de l’organisation de la profession et des filières associées, Aborder la place de la gastronomie dans les politiques publiques comme clé de voûte des sujets liés à l’alimentation, à la redynamisation des territoires, à la préservation du patrimoine vivant.
De la fourche à la fourchette, place désormais aux auditions !
Fruit d’un travail de près d’un an, l’amendement que je portais sur la protection juridique du principe d’antériorité est élargie aux activités sportives, touristiques et culturelles déjà existantes a été voté aujourd’hui, à l’Assemblée nationale.
Comment êtes-vous arrivée à porter devant l’Assemblée nationale cet amendement qui fait prévaloir le principe d’antériorité d’un lieu culturel, en cas de conflit avec les riverains ?
Lors de la venue de Françoise Nyssen, en 2018, avait été abordée la question du Run Ar Puñs, salle de concert à Châteaulin, qui était soumise à des pressions de voisinage. Richard Ferrand était présent. Il m’a alors été proposé de prendre en charge ce sujet, depuis longtemps porté par les associations. Une proposition de loi a été travaillée pendant un an, dans le cas où l’amendement ne passerait pas. Mais il a fait consensus.
Que dites-vous aux riverains qui cherchent la tranquillité ?
Je suis dans le « en même temps ». Je défends les deux. Les gens ont le droit au sommeil, mais les exploitants aussi ont le droit de créer une animation dans nos villes. Il faut savoir que cet amendement ne concerne pas les activités de bars mais culturelles : les concerts, les festivals, les fêtes de villages. Je me suis rendu compte que plusieurs endroits avaient été concernés par des recours, que l’on peut considérer comme abusifs, du voisinage, sur des activités préexistantes à l’installation des riverains. Ensuite, j’ai voulu aller plus loin et l’étendre aussi aux activités touristiques et sportives.
J’imagine que la mesure n’est pas très populaire auprès d’une certaine partie de la population ?
Il faut savoir que la notion d’antériorité, elle existe depuis longtemps pour l’agriculture, les aéroports, le commercial. Les bars étaient déjà dans la loi. Beaucoup de gens m’ont écrit en me disant que j’autorisais les bars à faire du bruit en bas de chez eux. C’est faux, nous n’autorisons pas à faire du bruit. C’est aux gérants des établissements en question d’éduquer leur clientèle ou de mettre en place des installations pour réduire les nuisances sonores. Mais nous ne sommes pas d’accord qu’on dise stop au Festival de Cornouaille parce que le biniou gêne le voisinage, par exemple. Nous recherchons le vivre ensemble et que nos centres-villes restent vivants, le soir aussi.
En tant que présidente du Groupe d’amitié France – Koweit à l’Assemblée nationale, j’ai invité son excellence Monsieur Sami Mohammad Al-Sulaiman, Ambassadeur de l’Etat du Koweit en France les 28 et 29 juillet derniers à venir découvrir notre territoire.
Dimanche 28 juillet – Découverte des fêtes de Cornouaille et de la circonscription
Matinée. Arrivée à Quimper, découverte de la culture bretonne et celtique, autour du Festival de Cornouaille. Réception à la préfecture de Quimper. 12.00 : Présentation de la culture bretonne et celtique dans le cadre du défilé du Festival de Cornouaille 13.30 : Déjeuner 15.00 : Visite guidée du centre historique de Quimper et animations traditionnelles 16.15 : Départ pour la cité des peintres, située à Pont-Aven 17.00 : Visite du musée Paul Gauguin et découverte de la cité. 19.30 : Dîner
Lundi 29 juillet – Visite d’entreprises de la circonscription
8.45 : Départ de l’hôtel 9.00 – 10 .00 : Visite de DOUX FPP ARMOR (LDC) 10.15 – 11.15 : Visite d’ARMOR-LUX 11.30 – 12.30 : Visite d’ENTECH 13.00 : Déjeuner 15.00 : Visite du chantier naval U FAST