Hier, je visitais la blanchisserie Kannti des Ateliers Fouesnantais, en compagnie d’élus et d’agents du Conseil Départemental et de la Communauté de Communes du Pays Fouesnantais.
Depuis maintenant plus de 20 ans, cette association a permis à des centaines de personnes en situation de handicap de trouver ou de retrouver un emploi. Ils élargiront bientôt leurs activités avec des ateliers de réparation de vélos, de couture et de nutrition. Un centre d’hébergement pour les anciens salariés arrivés à l’âge de la retraite est également en projet sur Pleuven.
Un bel exemple en matière d’économie sociale et solidaire !
En cette veille de rentrée des professeurs, j’assistais ce soir à la réunion de rentrée avec le recteur d’académie, les parlementaires du Finistère et les représentants des collectivités.
Voici les principales évolutions et points clés pour cette nouvelle rentrée scolaire : – obligation de l’enseignement à 3 ans – des enseignements spécialisés mis en place en vue du bac 2021 – une nouvelle augmentation du nombre d’accompagnants des élèves en situation de handicap.
Le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse est venu ce vendredi 9 août en Pays Bigouden pour échanger avec des jeunes qui travaillent durant l’été dans les métiers de l’agroalimentaire, de la restauration et des activités de loisirs maritimes.
Par ces échanges, le Ministre souhaitait mettre en avant les jeunes qui travaillent l’été pour financer permis de conduire, études, etc. Ce déplacement a aussi également de mettre l’accent sur les nombreuses offres d’emploi non pourvues dans les secteurs mis en lumière durant la journée, qui constituent autant d’opportunités pour les jeunes. Les élus ont également présenté les mesures d’accueil pour favoriser l’insertion professionnelle des jeunes dans le cadre de ces contrats estivaux.
Gabriel Attal, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, se rendra vendredi 9 août en Pays Bigouden pour échanger avec des jeunes qui travaillent durant l’été dans les métiers de l’agroalimentaire, de la restauration et des activités de loisirs maritimes.Partager
Par ces échanges, le Ministre souhaite mettre en avant cette jeunesse qui travaille l’été pour financer son permis, ses études, etc. Ce déplacement permettra également de mettre l’accent sur les nombreuses offres d’emploi non pourvues dans les secteurs mis en lumière durant la journée, qui constituent autant d’opportunités pour les jeunes.
Déroulé :
Visite de la conserverie “Océane Alimentaire” et échanges avec des jeunes travailleurs
Échanges avec des jeunes saisonniers de l’école de surf de Bretagne à la pointe de la Torche
Déjeuner chez “Tom’s Café” et échange avec des jeunes qui travaillent en hôtellerie-restauration durant l’été
En tant que présidente du Groupe d’amitié France – Koweit à l’Assemblée nationale, j’ai invité son excellence Monsieur Sami Mohammad Al-Sulaiman, Ambassadeur de l’Etat du Koweit en France les 28 et 29 juillet derniers à venir découvrir notre territoire.
Dimanche 28 juillet – Découverte des fêtes de Cornouaille et de la circonscription
Matinée. Arrivée à Quimper, découverte de la culture bretonne et celtique, autour du Festival de Cornouaille. Réception à la préfecture de Quimper. 12.00 : Présentation de la culture bretonne et celtique dans le cadre du défilé du Festival de Cornouaille 13.30 : Déjeuner 15.00 : Visite guidée du centre historique de Quimper et animations traditionnelles 16.15 : Départ pour la cité des peintres, située à Pont-Aven 17.00 : Visite du musée Paul Gauguin et découverte de la cité. 19.30 : Dîner
Lundi 29 juillet – Visite d’entreprises de la circonscription
8.45 : Départ de l’hôtel 9.00 – 10 .00 : Visite de DOUX FPP ARMOR (LDC) 10.15 – 11.15 : Visite d’ARMOR-LUX 11.30 – 12.30 : Visite d’ENTECH 13.00 : Déjeuner 15.00 : Visite du chantier naval U FAST
Cette année encore, j’assiste avec plaisir au Festival de Cornouaille, un événement phare de ma circonscription qui sait mettre en lumière notre culture, notre identité. Point d’orgue de cet événement immanquable : le traditionnel défilé. Notre invité d’honneur, l’ambassadeur du Koweit, a également apprécié. Retour en images.
J’ai échangé ce jour avec les représentants de la FNACA du Finistère. Nous avons abordé de nombreux sujets, dont le devoir de mémoire, les attributions de décorations et la demi part fiscale des veuves d’anciens combattants.
C’est avec plaisir que j’ai accueilli hier après midi le comité consultatif de la jeunesse de Saint-Evarzec avec leurs accompagnateurs.
Régulièrement, je suis amenée à recevoir à l’Assemblée nationale des enfants de ma circonscription. C’est toujours un honneur de pouvoir leur faire découvrir cet endroit emblématique, et de partager avec eux mon quotidien, de répondre à leurs questions. Ces temps d’échanges permettent de transmettre avec pédagogie l’importance de la citoyenneté, de l’engagement pour l’intérêt général, ainsi que les valeurs de la République. Ce sont des moments précieux.
Le Palais-Bourbon est ouvert aux groupes invités par un député. Les visites sont organisées pour des groupes de 50 personnes maximum. Elles sont gratuites et d’une durée d’une heure trente environ.
Zoom sur le Comité Consultatif de la jeunesse de Saint-Evarzec Il réunit des jeunes habitants de Saint-Evarzec de 10 à 17 ans qui souhaitent s’impliquer dans la vie de la commune. Le Comité Consultatif de la Jeunesse (CCJ) est reconduit cette année pour un mandat d’un an, la mission est : • débattre sur des thèmes variés • proposer des actions en faveur des jeunes de la commune • être les représentants des jeunes auprès des élus • exprimer ses besoins, ses attentes
Avec mes collègues députés du Finistère, nous avons rencontré des représentants de la faculté de médecine l’Université de Bretagne occidentale pour évoquer la démographie médicale en Bretagne.
A cette occasion, nous avons abordé différents points : – Dispositifs pilotes innovants pour répondre aux besoins de nos habitants – Lutte contre les déserts médicaux – Evolution des représentations – Diversification des parcours des médecins de manière incitative et pérenne.
J’ai accueilli dans ma permanence une délégation de Gilets jaunes afin de prendre connaissance des propositions concrètes qu’ils souhaitent soumettre pour donner suite à leurs revendications.
Sous forme d’un cahier réunissant toutes les doléances à partir de thématiques, chaque point rappelle le contexte du problème, ses conséquences et les propositions formulées par le collectif. Le recueil a été réalisé des doléances et des propositions a été initié tout au long des mobilisations du mouvement.
J’accorde un réel intérêt à ce type de démarche constructive. Nous avons pu échanger pendant deux heures et demie. Je me suis engagée à transmettre ces propositions au niveau national.
J’ai signé une tribune dans le « Journal du Dimanche » pour défendre le secteur aérien : ce moyen de transport est indispensable à la bonne santé économique de notre territoire.
“Honte de prendre l’avion (‘flygskam’), amendement à la loi d’orientation des mobilités prévoyant d’augmenter la taxe sur le kérosène et le taux de TVA sur les billets d’avion, proposition de loi visant à interdire les vols domestiques lorsqu’il est possible de prendre le train avec un temps supplémentaire de deux heures et demie ou moins… Ces dernières semaines, nous assistons, interloqués, à une multiplication des attaques contre l’avion. Sans remettre en cause l’urgence écologique et la nécessité de réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre, nous souhaitons mettre en garde contre des solutions démagogiques et caricaturales qui sacrifieraient, encore une fois, les territoires les plus éloignés des métropoles et leurs habitants.
Non, l’avion n’est pas un moyen de transport qui serait un caprice réservé aux nantis ! Pour beaucoup de nos départements, il est une nécessité vitale. Certains de nos territoires sont en effet victimes d’un enclavement qui handicape leur développement. Les lignes aériennes interrégionales, en particulier celles qui les relient à Paris, sont souvent le seul moyen de leur éviter un isolement mortifère, faute de dessertes routières et ferroviaires adaptées à notre époque.
Pour rejoindre Aurillac au départ de Paris, par exemple, il faut compter sept heures de train et deux changements, avec souvent l’obligation de prendre un autobus. Dans le Cantal, en général, il faut en outre compter environ une heure et demie pour rejoindre une autoroute. C’est bien la ligne aérienne d’aménagement du territoire qui maintient une grande partie du département en vie et connecté au reste du pays.
En dépit des difficultés auxquelles ils doivent faire face, nos territoires sont malgré tout des viviers d’entreprises innovantes et dynamiques, avec des pépites à la renommée parfois internationale. À Quimper, des entreprises comme Armor Lux ou Verlingue font la fierté du Finistère. Dans le Cantal, l’entreprise Matière emploie plusieurs centaines de personnes et construit des ponts métalliques dans le monde entier. L’avion, souvent beaucoup plus rapide que le train, leur est indispensable pour permettre aux dirigeants et salariés de rencontrer rapidement leurs clients à Paris et à l’étranger. Deux heures et demie de temps de transport supplémentaire seraient inconciliables avec la vie économique normale de ces entreprises. Brest, Chambéry, Limoges, Agen, Tarbes, Brive, Toulouse, Montpellier, Clermont-Ferrand… Autant de villes qui, grâce à leur aéroport, irriguent l’activité économique d’une région. À titre d’exemple, les dix aéroports d’Occitanie génèrent 1% du PIB local.
Qu’il n’y ait pas de méprise, nous ne sommes les représentants d’aucun lobby. Nous avons conscience de l’importance de changer nos modes de transport et de consommation pour lutter contre le réchauffement climatique… mais privilégions l’écologie incitative plutôt que punitive. Aidons le secteur aérien à adopter une stratégie bas carbone en développant la recherche sur l’hydrogène et le biokérosène.
C’est précisément à ces fins qu’une mission d’information parlementaire sur le transport aérien et l’aménagement des territoires a été lancée en mai dernier. Pluraliste et proche des préoccupations de tous nos territoires, elle formulera certainement des propositions intéressantes en tenant compte du paramètre écologique. Ne jetons pas l’anathème sur un mode de transport dont la suppression aurait des conséquences économiques et sociales dramatiques pour beaucoup de nos concitoyens. L’avion nuit au climat, certes ; mais si on le compare à l’automobile, il consomme deux fois moins par passager. S’y attaquer sans discernement aggraverait considérablement la fracture territoriale et sociale de notre pays.”